Dossier: La souveraineté de DieuSérie: serie
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La Souveraineté de Dieu

LA SOUVERAINETÉ DE DIEU

Cet article est une adaptation libre d’une longue étude de Paul-André Dubois. Celui-ci, aujourd’hui à la retraite, a exercé des fonctions pastorales au Portugal et en Suisse. Il a également assumé des tâches d’enseignement et de direction à l’École biblique de Genève (actuellement Institut Biblique de Genève). Il est encore actif dans l’enseignement de l’Écriture et dans des tâches rédactionnelles (revue La Bonne Nouvelle).La souveraineté de Dieu : son affirmation

A. La souveraineté de Dieu : son affirmation

De l’ensemble de la Révélation biblique se dégage une évidence massive : Dieu est souverainement élevé au-dessus de tout, revêtu de l’autorité et de la puissance suprêmes. En sa qualité de Roi des rois, de Seigneur des seigneurs, il siège sur le trône céleste, rayonnant de sa majesté de seul Tout-Puissant1 .

Mais Dieu ne se contente pas de s’attribuer le titre de Tout-Puissant : il exerce effectivement son autorité. En dépit de tous les éléments qui semblent contredire ce règne, l’Écriture est catégorique : c’est à lui qu’il appartient de gouverner le monde en général, et de nourrir nos pensées en particulier2 . Le désordre du temps présent est grand, certainement, mais les événements n’échappent pas au contrôle de Dieu, qui poursuit l’achèvement de son plan dans l’histoire du monde et accomplit sa volonté dans la vie de ses enfants d’adoption, les croyants, car il « opère toutes choses d’après le conseil de sa volonté » (Éph 1.11).

B. La souveraineté de Dieu : sa définition

Dieu est au-dessus de toutes choses, visibles ou invisibles : « L’Éternel a établi son trône dans les cieux, et son règne domine sur toutes choses. » (1 Chr 29.11) Sa volonté et son pouvoir sont absolus. Tout ce qu’il a conçu et décidé s’accomplira3 . Ceux qui lui résistent n’échappent pas à son empire, leur vie continue de dépendre constamment de lui4 . Derrière tous les événements, ordinaires ou extraordinaires, la main puissante de Dieu est à l’œuvre. Celle-ci ne se relâchera pas, jusqu’à ce que tout genou fléchisse devant le Maître divin, soit dans l’adoration, soit dans le tremblement5 .

Parce que rien ni personne ne saurait impunément défier Dieu, ce dernier se rit de ses adversaires6 . Au Jugement dernier, les révoltes, les injustices et les blasphèmes de toute créature rebelle seront sanctionnés, et toute bouche sera fermée devant le Juge suprême7 .

C. La souveraineté de Dieu : ce qu’elle n’implique pas

1. Dieu n’agit pas arbitrairement

Des passages bibliques comme Ps 115.3 : « Notre Dieu est au ciel, il fait tout ce qu’il veut » n’impliquent nullement l’arbitraire, le caprice, encore moins le despotisme. Contrairement aux dieux païens ou aux tyrans, Dieu ne recourt jamais à sa toute-puissance pour en mal user, ou en abuser. Car s’il est vrai que Dieu agit « selon le bon plaisir de sa volonté » (Éph 1.5), et que personne ne peut le manipuler, il est également vrai qu’il « opère toutes choses selon le conseil de sa volonté » (Éph 1.11), et sa volonté est toujours sage, éclairée et intelligente.

Job, même au sein de l’épreuve, l’admettait : « En Dieu résident la sagesse et la puissance, le conseil et l’intelligence lui appartiennent » ; « À lui la sagesse et la toute-puissance. » (Job 12.13 ; 9.4) Cependant, son expérience nous apprend qu’il y a parfois une grande distance entre la reconnaissance théorique de la souveraineté divine, et l’acceptation des méthodes divines. C’est pourquoi, à la fin de ses tribulations, Job doit s’humilier pour avoir contesté le bien-fondé de la stratégie divine à son égard : « Oui, j’ai parlé, sans les comprendre, de merveilles qui me dépassent et que je ne connaissais pas… C’est pourquoi je me condamne et je me repens… » (Job 42.3b,6) Heureusement pour lui, Job vient de faire en même temps un grand pas en avant dans la connaissance personnelle de son Dieu : « Maintenant mon œil t’a vu. » (Job 42.5b)

2. Dieu n’agit pas injustement

La puissance sans limite de Dieu n’entraîne aucune atteinte à sa sainteté. Contrairement aux puissants de ce monde ou aux démons, Dieu maintient en parfaite harmonie puissance et justice. Dans la sphère des hommes, il faut plutôt reconnaître que « la raison du plus fort est toujours la meilleure » ou bien, comme Pascal le disait avec ironie : « Ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste. » Dieu n’a pas à choisir entre la force ou la justice : « Tout ce que l’Éternel veut, il le fait, dans les cieux et sur la terre » (Ps 135.6) — sans jamais se départir de sa parfaite justice. Et « si nous sommes infidèles, il demeure fidèle, car il ne peut se renier lui-même. » (2 Tim 2.13 ; cf. Gen 18.22-25 ; Job 8.3 ; 34.10-12,17-19). Le psalmiste Éthan l’a fort bien résumé : « Ta main est puissante, ta droite élevée, la justice et le droit sont la base de ton trône. La bienveillance et la vérité se tiennent devant ta face. » (Ps 89.14b,15)

3. Dieu n’approuve pas les actes répréhensibles, même quand ils servent à l’accomplissement de son dessein

Quelques exemples illustreront ce principe :

– En vendant Joseph aux Madianites, ses frères, mus par la jalousie et la haine, commirent un acte criminel. Les événements ultérieurs montrent toutefois que le plan Dieu s’accomplit à travers ce drame : la présence de Joseph en Égypte contribua à sauver les siens de la famine. Pour autant, la Parole ne laisse jamais entendre que Dieu ait approuvé le forfait ancien (cf. Gen 37 ; 42-45). Au contraire, il utilisa les circonstances pour amener les frères de Joseph à avouer leur faute, et à s’en repentir.

Schimeï insulta grossièrement David, jusqu’à le maudire, mais, au lieu de se venger lui-même, David remit sa cause à Dieu, car il savait que celui-ci entend les propos malveillants et peut retourner la situation : « Peut-être l’Éternel regardera-t-il ma peine, et me fera-t-il du bien en retour de sa malédiction8 d’aujourd’hui. » (2 Sam 16.12) Le souhait de David fut exaucé. Quant à Schimeï, il fut exécuté plus tard par un serviteur de Salomon (1 Rois 2.8,9,36-46).

– Dieu utilisa les Assyriens pour punir son peuple rebelle. Mais il déclara : « Malheur à l’Assyrien, verge de ma colère. » (cf. És 10.5-16) Pourquoi cette condamnation ? « Je punirai le roi d’Assyrie pour le fruit de son cœur orgueilleux et pour l’arrogance de ses regards hautains. » (v. 12b)

– Dieu avait prévu et déterminé de toute éternité l’incarnation, le ministère et la crucifixion de Jésus-Christ. Ceux qui l’ont mis à mort ont néanmoins commis un crime infâme, inexcusable, dont Dieu les a tenus coupables. Dans la mesure où les instigateurs et les exécutants de ce crime ont reconnu leur faute, ils ont pu entrer dans le plan de grâce du Seigneur, être pardonnés et recevoir le Saint-Esprit. (Act 2.23-41) La trahison de Judas était annoncée, elle était un élément du plan divin (Ps 41.10). Mais Judas a été néanmoins considéré comme coupable de son acte (Luc 22.21-23).

En bref, les actes répréhensibles des hommes, même quand ils servent au dessein de Dieu, n’en sont pas justifiés pour autant, car Dieu ne peut rester indifférent ni aux mobiles de leurs auteurs, ni à leur état d’esprit9 .

4. Dieu ne traite pas les hommes comme des engins téléguidés

L’homme n’est ni un robot, ni une machine. Dieu ne le manipule pas à son insu. Dès l’origine, l’homme et la femme ont été rendus responsables de leurs choix. Ni Adam et Ève, ni Caïn et ses descendants n’ont été prisonniers d’un déterminisme aliénant. Lorsque la Révélation (orale d’abord, puis écrite) sous l’éclairage du Saint-Esprit sont intervenus dans l’histoire, des choix ont été possibles10 — et particulièrement le choix capital entre tous : celui qui consiste à se placer volontairement sous l’autorité et sous la grâce du Dieu-Sauveur.

Autrement dit, la souveraineté de Dieu ne s’exerce jamais au détriment de la responsabilité humaine, ni au détriment de la justice ou des décrets divins, ni en contradiction avec l’intelligence, la sagesse, et la vérité qui caractérisent la nature de Dieu. Au lieu de nous en prendre aux mystères de la volonté de Dieu, et d’accuser celui-ci (pour nous blanchir), prenons en exemple l’attitude du péager de Luc 18.13,14 : « Il se tenait à distance, n’osant même pas lever les yeux au ciel, mais se frappait la poitrine et disait : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur. »11 La parabole souligne que Dieu se plaît à honorer cette disposition du cœur.

D. La souveraineté de Dieu : ses domaines d’application

Dieu, par définition, doit régner en tout, partout, sur tout, ou alors il n’est plus Dieu. C’est ce qu’affirment grand nombre d’écrivains bibliques (voir par ex. Ps 103.19 ; 1 Chr 29.11 ; Lam 3.37). Mais ce règne, comme nous l’avons déjà reconnu, n’est pas encore apparent de manière universelle : le Royaume est en devenir, et à venir. Il constitue l’espérance de tout croyant (« Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel »), et la Création tout entière soupire après ce jour (Rom 8.19-22).

Quoique partiellement voilée dans le temps présent, la souveraineté de Dieu repose sur des bases solides, de sorte que les germes du Royaume à venir sont déjà profondément plantés dans l’histoire passée. Rappelons-en quelques manifestations :

– La symphonie de la Création, librement composée, orchestrée et exécutée par le Dieu tout-puissant 12 ;

– La conservation du monde physique, volontairement garantie par le Dieu tout-suffisant13  ;

– L’histoire des nations et de leurs chefs, et l’histoire d’Israël en particulier, souterrainement canalisées par le Roi des rois 14 ;

– L’histoire du salut, magistralement conduite par le souverain Berger15  ;

– La rédemption de l’humanité perdue, résolument accomplie par le Fils de Dieu au travers de l’offrande de la Croix et de la victoire de la Résurrection16  ;

– La création de l’Église 17.

On peut ajouter que Dieu n’a jamais cessé de veiller à la rédaction, à la transmission, et à la conservation de sa Parole révélée, car sans elle nous ne saurions rien de sûr quant à Dieu, quant à ses desseins, quant à nous-mêmes, et à la relation nouvelle dans laquelle nous sommes invités à entrer. Sans la souveraine sagesse, puissance et inspiration de l’Auteur divin, le miracle de la Révélation ne serait pas18 .

E. La souveraineté de Dieu : source de bénédiction éternelle

Dans la droite ligne des promesses de bénédiction universelle faites à Abraham et à sa postérité, Jésus-Christ a annoncé l’édification future de son Église, et Paul en a fait connaître la dimension. Le dévoilement de ce « mystère caché de tout temps en Dieu » a rendu possible la réunion en un seul « corps » des Juifs et des païens convertis. La naissance, puis l’extension de l’Église suivent donc un plan issu de Dieu19 .

De même que Satan, les puissances invisibles malfaisantes et les hommes se sont ligués en leur temps pour faire obstacle au ministère et à la suprématie de Jésus-Christ, ces mêmes acteurs se sont promis d’anéantir l’Église et le témoignage à la Vérité. Christ avait annoncé cette lutte sans merci (Mat 16.18), mais avait aussi promis que les desseins de l’Ennemi ne prévaudraient pas, ce dont les apôtres surent se souvenir en périodes de crises internes ou de persécutions20. La Croix et la Résurrection sont les signes de l’écrasante et inéluctable victoire de Dieu, non seulement sur Satan, le péché, et la mort, mais aussi sur tout ce qui s’oppose à la marche en avant de l’Église vers le but glorieux que Dieu lui a fixé21. L’autorité de Dieu sur les puissances invisibles est donc réelle et totale dès le début. Elle va sans cesse en se déployant et en s’affirmant.

Le retour et l’avènement de Christ, le renouvellement du monde créé, le règne messianique, puis l’état éternel, dépendent également d’un calendrier et de modalités librement fixés par le Père céleste22. Au moment où l’humanité, se croyant mûre pour prendre seule son destin en mains, passera par les heures les plus sombres de son histoire, au moment où l’apostasie sera globale, où l’Antichrist pensera avoir assujetti la terre entière, Dieu manifestera sa colère de la façon la plus radicale. À aucun instant de cette « fin de partie » catastrophique, le cours des choses et des affaires humaines n’échapperont au contrôle de Dieu. Bien plus, c’est lui-même qui poussera les hommes à aller jusqu’au bout de leur logique impie, et les jettera les uns contre les autres : « C’est Dieu qui a mis dans leurs cœurs d’exécuter son dessein, d’exécuter un même dessein… » (Apoc 17.17)23 Après la grande Tribulation dont parle l’Apocalypse, le Seigneur Jésus-Christ apparaîtra en gloire, fera taire toute opposition, et précipitera l’Antichrist, le faux Prophète, et Satan dans l’abîme24. Le règne millénaire qui suivra, la dernière révolte globale, son écrasement, le Jugement dernier ainsi que la formation des nouveaux cieux et de la nouvelle terre, puis la venue de la nouvelle Jérusalem, constitueront le prélude à la bénédiction éternelle pour tous les élus25 .

F. Et aujourd’hui ?

Chaque étape de la vie du croyant dépend de la grâce et de la souveraine sagesse divines. L’amour et la puissance de Dieu sont en effet nécessaires dans les opérations suivantes :

– l’élection au salut, et la prédestination à tous les fruits qui en découlent26  ;

– l’appel au salut, appel rendu efficace par la puissance du Saint-Esprit 27 ;

– la justification et la régénération, rendues possibles par l’œuvre de Christ28  ;

– notre sanctification progressive ici-bas, notre transformation à l’image de Christ29  ;

– la glorification finale, la résurrection de notre corps et la vie éternelle en présence de l’Éternel, de tous les rachetés et des saints anges 30.

Cette œuvre parfaite dont nous bénéficions est résumée magnifiquement en Romains 8. On y trouve synthétisés tous les aspects du plan de notre salut, d’une éternité à l’autre. L’action de Dieu en notre faveur constitue un tout absolument compact et indivisible ; elle est couronnée par un triomphe assuré, quelles que soient les circonstances ou l’opposition.

En résumé, la doctrine de la souveraineté de Dieu est infiniment réconfortante : elle est conforme à la nature glorieuse de Dieu ; elle détourne nos regards de la vanité, de l’absurdité, de la méchanceté, de l’impuissance et du désespoir qui constituent le « fonds de commerce » de l’humanité31  ; elle se dresse contre toute prétention hégémonique du diable 32 ; elle nous offre une vision de l’avenir dégagée du défaitisme33  ; elle nous permet d’envisager l’histoire comme un processus guidé par des lois rationnelles (non, le monde n’est pas l’enfant du hasard !) ; elle nous fait voir nos épreuves et nos échecs sous un jour nouveau, car « toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu », et Dieu fixe les limites de la tentation 34 ; elle nous permet de nous reposer en Dieu quant à l’aboutissement de notre propre parcours terrestre, puisque le Père céleste nous tient fermement dans sa main, pour toujours35 .

Dans la mesure où nous saurons reconnaître la souveraineté du Roi de l’univers au gré de notre voyage ici-bas, nous serons heureux de nous ranger parmi ses sujets. S’il est mon Souverain, j’accepte ce qui vient de sa main, et dans cette soumission loyale et filiale, je trouve la vie, la pleine bénédiction, la joie et la paix.

 

 

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  1. Le terme « Tout-Puissant » appliqué à Dieu est la traduction de l’hébreux « El Chaddai » ou du grec « Pantokratôr ». Sous forme de nom ou d’adjectif, on trouve cette expression environ 50 fois dans l’A.T. et 10 fois dans le N.T. (NDLR)
  2. 2 Cor 10.5 ; Phil 2.5 ; 4.8.
  3. Ps 93.3,4 ; 2 Rois 6.14-17 Ps 33.8-11 ; 103.19 ; 115.1-3 ;És 14.24-27 ; 43.11-13 ; 44.28 ; 46.9-11. Cette définition implique que le Dieu éternel soit éternel : Dieu le Père, comme Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit, n’ont en effet « ni commencement de jours, ni fin de vie » (cf. Héb 7.13).
  4. És 36.18-20 ; 37.4-7 ;;Act 12-20-23 ; 17.25-28 ; Job 12.10 ; 34.10-15 ; Dan 5.22,23.
  5. És 45.22-25 ; Phil 2.9-11 ; Pr 1.25,26,
  6. Ps 2.1-4 ; 37.13 ; Pr 1.25,26.
  7. Apoc 20.11-15.
  8. « sa malédiction » : c.-à-d. celle de Schimeï.
  9. Ps 90.8 ; Rom 2.14-16.
  10. Quelques textes.clés concernant la responsabilité humaine : Deut 30.15-20 ; 32.4-6 ; Or 1.20-33 ; És 55.6,7 ; Lam 3.39-45 ; Éz 18.23,32 ; 33.10,11 ; Jean 3.14-19 ; 5.39,40 ; Rom 1.18-21 ; 2.1-5 ; 2 Thes 1.6-10 ; 2.9-12.
  11. Deut 32.4-6 ; Lam 3.21-25,39-42.
  12. Ps 33.6-9 ; Rom 11.33-36 ; Apoc 4.11.
  13. Gen 8.22 ; Job 34.13-15 ; Ps 104.10-15,24-30 ; Act 14.16-17 ; Col 1.17 ; Héb 1.1-4.
  14. Ex 9.13-16 ; tout le livrre d’Esther ; Job 34.16-32 ; Ps 2.1-9 ;És 40.12-17 ; 44.24-28 ; 37.21-29 ; Dan 2.20,21,44,45 ;4.24-34 ; Mat 25.31-35 ; Rom 9.17.
  15. És 44.6-8 ;45.21 ; Act 15.16-18.
  16. 1 Pi 1.18-20 ; 2 Tim 1.8-10 ; Luc 2.25-32 ; 24.25-27 44-49 ; Jean 1.29 ; 14.15-17 ; Act 2.32-36.
  17. Éph 1.22 ; 2.20 ; 1 Tim 3.15.
  18. Jér.1.4-5 ; Marc 1.14,15 ; 1 Cor 2.13 ; Gal 1.15,16 ; 2 Tim 3.16 ; 2 Pi 1.20,21.
  19. Gen 12.1-3 ; És 49.4-6 ; Mat 16.13-18 ; Marc 16.15 ; Mat 28.19 ; Luc 24.47 ; Act 1.8 ; 13.47 ; Gal 3.8,9,13-16 ; Éph 2.11-18 ; 3.1-7 ; 1 Tim 3.15 ; Apoc 2.3.
  20. Jean 15.18-21 ; 16.1-4 ; Act 5.33-39 ; 2 Cor 2.11,14 ; 2 Tim 3.10-13.
  21. Jean 12.31 ; Col 2.15 ; Héb 2.14 ; Éph 10.6-20 ; 1 Pi 5.8,9 ; Jac 4.7 ; Apoc 2.9-11.
  22. Rom 8.19-22 ; 2 Pi 3.13 ; Apoc 21.1-4.
  23. Exemples antérieures de l’histoire : cf. 2 Rois 19.28 ; Job 12.16-25 ; Pr 21.1 ; És 44.25 ; Éz 29.4 ; 38.4 ; 39.2.
  24. Apoc 19.11-20.2.
  25. Apoc 20.21.
  26. Éph 1.3,4 ; 2 Thes 2.13 ; 2 Tim 1.9 ; Apoc 17.8.
  27. Rom 8.30a ; 2 Thes 2.14.
  28. Rom 8.30b ; Rom 5.1 ; 1 Pi 1.3,22,23 ; Jac 1.18 ; Tite 3.4-7 ; Jean 3.1-7.
  29. Phil 1.6 ; 1 Thes 5.23,24 ; 1 Cor 1.8,9 ; 1 Pi 5.10 ; 2 Thes 3.3.
  30. Col 3.4 ; 2 Thes 1.10 ; 1 Jean 3.1-3 ; 1 Pi 5.1 ; 1 Cor 15.20-22 ; 42-44,51,54 ; Phil 3.20,21 ; Apoc 22.3-5.
  31. Lam 3.18-24,38 ; 1 Pi 5.6,7.
  32. 1 Pi 5.8-10 ; 1 Jean 3.8b ; 5.18-20.
  33. Ps 10 ; 73 : Dans ces deux Psaumes, notez le changement de perception à partir du moment, où le Dieu souverain est reconnu ; Ps 46.
  34. 1 Cor 10.13 ; Rom 5.3,4 ; Jac 1.2-4 ; Héb 12.7-11 ; 1 Pi 1.6,7 ; 2 Cor 4.16-18 ; Jean 10.27.30.
  35. Jean 10.27-30.
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