Dossier: L'occultisme démasqué
Share on FacebookShare on Google+Tweet about this on TwitterShare on LinkedInEmail this to someonePrint this page

Possession démoniaque et exorcisme

Le chrétien n’a qu’un seul manuel qui traite le sujet de la possession et de l’exorcisme avec autorité, clarté, honnêteté, vérité : les Saintes Écritures, la Bible. Ce ne sont pas des expériences personnelles, aussi spectaculaires et efficaces qu’elles semblent être, qui comptent. Les jalons sont placés par la Parole de Dieu. Gardons-nous donc de suivre quiconque ne se conforme pas à ce Guide.

L’exorcisme n’est pas un ministère que l’on recherche, ni duquel on se glorifie (cf. 1 Cor 10.12). Le Seigneur va utiliser celui qu’il appelle, qu’il qualifie par son expérience de la vie et par sa piété, qui est reconnu par des hommes de saine doctrine avec la recommandation d’une assemblée bien établie dans les principes bibliques.

Tout chrétien doit acquérir une instruction biblique pour éviter les pièges spirituels si subtils qui attendent le converti naïf. On ne maîtrise pas un tel sujet, on s’en informe humblement et avec une crainte salutaire.

Un regard sur l’Ancien Testament

A. Satan

Son nom signifie « adversaire » et le verbe correspondant signifie « accuser, résister ». Mais il a d’autres noms et d’autres facettes : par exemple, dans l’A.T., le serpent, Lucifer, et dans le N.T., le diable, Apollyon, le dragon, Bélial, Béelzébul, le Mal.

Notons que l’A.T. (4/5e de la Bible) révèle vraiment peu de choses sur cet être invisible, mais très actif pour le mal. Le nom « Satan » n’apparaît que dans 4 chapitres (Job 1 et 2 ; 1 Chr 21 et Zach 3)1.

Pourquoi est-il fait si peu mention de ce personnage mauvais dans l’A.T. ? Seul le Créateur le sait clairement. Peut-être que Dieu n’a pas permis que les croyants de l’ancienne alliance soient consciemment et directement opposés au diable parce que la victoire de Christ sur celui-ci n’avait pas encore été ouvertement remportée et que le Saint-Esprit n’avait pas encore été répandu.

Ce qui est révélé dans l’A.T. suffit pour nous convaincre que Satan existe, qu’il est puissant, rusé et accusateur. Après Dieu, il est l’être le plus puissant de l’A.T. Et pour cette raison, le chrétien ne devrait jamais penser que l’Adversaire est un être méprisable, car son intelligence et sa puissance dépassent largement tout ce qui est naturellement humain. Seul Dieu le surpasse en intelligence et en force.

B. Les démons

Leur description est moins individualisée que celle de Satan. Les mauvais esprits (et l’évocation des esprits des morts, c’est-à-dire le spiritisme) sont associés aux pratiques occultes (Lév 20.6,27 ; Deut 18.10-11 ;1 Sam 28.7-19 ;És 8.19 ; Osée 4.12 ; 5.4 ;Zach 13.2). Beaucoup de mises en garde sévères révèlent que les esprits qui poussent à l’idolâtrie, diversement caractérisés, sont réellement de nature maléfique (cf. Ps 78.49 ; 96.5 où le mot « idoles » est traduit « démons » dans la LXX).

Toutefois, même dans les périodes de complet déclin spirituel, Dieu n’a jamais permis que Satan et ses démons anéantissent la nation d’Israël (cf. Zach. 3.2).

À ma connaissance, il n’y a pas un seul cas d’exorcisme dans l’A.T.

La relative sobriété de l’A.T. à propos de l’activité satanique nous enseigne déjà que le croyant ne doit pas se laisser obnubiler par l’étude du Mal, car cela serait une façon de glorifier des créatures (Satan et les démons) opposées à Dieu.

Un regard sur la période intertestamentaire

La littérature juive non-canonique, qui couvre à peu près 400 ans, entre Malachie et Jésus-Christ, traite beaucoup plus la question des forces du Mal que l’A.T. Pourquoi ? Il est probable que, dans cette période, le peuple juif, successivement sous les occupants médo-perses, grecs et romains, paganisés et marqués par l’occultisme à outrance, s’est laissé pénétrer profondément par des influences maléfiques.

Les érudits juifs se sont penchés sur Genèse 3.1-6 et Job 1-2, et ils sont parvenus à trois conclusions :

1. Pour le moment, Dieu règne au-dessus de Satan, à qui une certaine liberté d’action limitée est permise.

2. Le pouvoir de Satan n’est pas complet sur tout ce qui se passe dans le monde, car Dieu vient en aide aux siens en temps voulu.

3. Le jour viendra où Dieu exercera son règne sur ce monde, et probablement dans celui d’un nouveau ciel et d’une nouvelle terre d’où Satan et ses démons seront bannis et envoyés, avec tous les êtres humains perdus, dans un enfer éternel !

Toute cette réflexion forme l’arrière-plan de l’intérêt des Juifs au sujet de Satan et des démons que nous découvrons dans le N.T. Toutefois, toutes les idées juives de la période intertestamentaire ne se retrouvent pas totalement dans la période du N.T.

Un regard sur le ministère de Jésus-Christ

Jésus, notre modèle

L’attitude de Jésus-Christ face au monde des ténèbres est le modèle de notre action sur le sujet.

Les exorcismes sont limités aux trois premiers Évangiles. Pourquoi ? Ces Évangiles présentent essentiellement Christ sous son aspect humain, incarné. La vie de l’homme Jésus sert de champ de bataille entre son humanité et le monde maléfique invisible. Et ce monde essaie de s’installer, de vaincre et de dominer l’humanité, individu par individu. Le Saint-Esprit, à travers Jésus et son histoire, voulait révéler aux hommes, bons et mauvais, que le monde ténébreux existe réellement (mais pas selon les légendes et les mythes de l’Antiquité).

L’Évangile selon Jean ne contient aucun exorcisme. Cet Évangile présente le Christ en tant que Dieu incarné sur la terre. L’opposition de Satan est dévoilée au travers de l’incrédulité des hommes (cf. Jean chap. 8et 9 en particulier). La supériorité du Fils de Dieu sur les agents humains de l’Ennemi finit par s’imposer de manière éclatante.

Sept exorcismes accomplis par Jésus dans les Évangiles

L’exorcisme peut être défini comme l’acte de libérer des individus affectés — et même parfois contrôlés — par l’influence malveillante des forces démoniaques invisibles, mais parfois audibles. Cet acte de guérison divine de cas psycho-spirituels diaboliques est totalement différent de toute autre forme de guérison (physique et/ou « normalement » psychologique) par une intervention de la part de Dieu ou par un traitement médical (cf. Marc 7.31-35 ; 8.22-25 ; 5.25-34, etc.). La méthode employée par Jésus pour la guérison médicale d’un individu qui n’a subi aucune domination démoniaque a été le toucher. Toutefois, dans les cas d’exorcismes des esprits maléfiques, Jésus n’a jamais touché un seul individu. Il se contente de parler au démon, en lui donnant des ordres courts et autoritaires.

Jésus n’a jamais considéré son ministère d’exorcisme comme une fin en soi ou seulement comme un exercice de compassion. Ces délivrances indiquaient la présence du règne de Dieu, actualisé à ce moment-là sur la terre en sa personne (Luc 11.20). Ainsi Jésus démontrait sa victoire sur la terre (Luc 10.18 ; Jean 12.31), même avant celle gagnée à la croix (cf. Héb 2.14-15).

Voici les 7 cas d’exorcismes racontés en détail dans les trois premiers Évangiles :

1. L’homme de la synagogue de Capernaüm (Marc 1.23-28 ; Luc 4.33-37)

Un homme est possédé par un « esprit impur ». Le mot « esprit » est ici un sémitisme désignant un démon. Le démon reconnaît Jésus comme Dieu incarné. Le « nous » qu’il emploie pourrait signifier qu’il se voit comme le représentant de toutes les forces du Mal (cf. Marc 3.11) et la réponse de Jésus démontre qu’il l’accepte comme tel.

Jésus commande avec autorité2 au démon de sortir (cf. Marc 5.8 ; 9.25). Mais ce démon, pour exprimer sa haine d’être obligé de partir, fait souffrir physiquement le pauvre homme en le quittant ! Les démons semblent avoir la capacité de prendre une revanche momentanée, mais limitée.

La victoire de Jésus est la preuve physique que l’autorité de Dieu s’exprime dorénavant parmi les hommes.

2. Le possédé gadarénien (Marc 5.1-20 ; Mat 8.24-34 ; Luc 8.26-39)

Cette histoire extraordinaire se déroule en quatre temps :

• La rencontre (Marc 5.1-9) : Jésus trouve en face de lui un homme contrôlé par le même type d’esprit que dans l’épisode précédent. Cet esprit a rendu l’homme physiquement très fort et psychiquement bouleversé, avec des comportements autodestructeurs.

Un démon, représentant la multitude de ceux qui accablent ce pauvre homme, emploie trois tactiques pour rejeter le pouvoir et l’autorité de Jésus :

– il rend une sorte d’hommage à Jésus (essaie-t-il de l’amadouer ?) ;

– il identifie correctement Jésus comme Dieu le Plus Haut (cherche-t-il la clémence en le flattant ?) ;

– il supplie fortement « au nom de Dieu » de ne pas être envoyé immédiatement vers son destin de punition éternelle (cherche-t-il désespérément une sorte de miséricorde de la part du Créateur ?).

Jésus commande très simplement au démon de sortir.

• La délivrance (Marc 5.10-13) : Le chef démon et tous les autres demandent à Jésus de ne pas les envoyer là où ils existeraient comme des esprits désincarnés, c’est-à-dire incapables de tourmenter les hommes. Ils se disent même prêts à vivre dans des pourceaux. Ils croient ainsi pouvoir gagner la confrontation avec Jésus, mais lui sait quelle sera la réaction des pourceaux. Alors il les y envoie, et les démons en sont aussitôt délogés – pour attendre leur jugement final : il ne faut pas essayer de marchander avec Jésus !

• La réaction des Gadaréniens (Marc 5.14-17) : Ces païens manquent la rencontre la plus importante de leur vie en préférant le paganisme et l’appât du gain futur.

• La mission du délivré (Marc 5.18-20) : L’homme guéri soumet à Jésus une requête légitime : il voudrait le suivre. Mais Jésus a une meilleure mission pour lui : être son représentant auprès de tous dans la région en racontant ce que Jésus lui a fait. Avec vigueur, cet homme part immédiatement accomplir la volonté de son nouveau Maître, et son témoignage est retentissant.

3. La fille syro-phénicienne (Marc 7.24-30 ; Mat 15.21-28)

Jésus fait une excursion en terre païenne, et il est rencontré par une mère qui lui demande de chasser le démon de sa fille. Surprise ! Jésus ignore d’abord sa requête, puis il déclare assez froidement (mais pédagogiquement !) qu’il ne serait pas convenable de faire un miracle parmi ce peuple païen à ce moment-là. La mère a une réponse étonnamment humble, mais sublime, basée sur sa compréhension de l’identité réelle de Jésus (Mat 15.21). Cette réponse touche profondément le cœur de Jésus. Il intervient à distance, affirmant que la fille est déjà libérée de la présence néfaste du démon.

Notez bien que Jésus ne s’adresse jamais au démon, ni ne donne d’ordre à son égard ! Sa présence auprès de la fille n’est pas nécessaire. Jésus agit sur la déclaration de foi de la mère — pas même celle de la victime (la fille) ! Essayez d’imaginer les émotions de cette mère qui court à sa maison, puis sa joie en voyant sa fille guérie. Il faut avoir été un parent accablé pour comprendre profondément cette expérience, me semble-t-il.

4. Le fils possédé (Marc 9.14-29 ; Mat 17.14-21 ; Luc 9.37-43)

Un père est accablé par le triste état de son fils : autiste, sourd, épileptique, impur aussi (Marc 9.25), il exige une surveillance permanente. Quelle fatigue physique, quelle angoisse psychologique !

Son intervention auprès des disciples a été sans succès — bien que Jésus leur ait accordé auparavant le « pouvoir sur les esprits impurs » (Marc 6.7).

Jésus critique très sévèrement ses disciples pour leur échec, puis, après une petite enquête préliminaire, il intervient rapidement, simplement et victorieusement — sans spectacle public (Marc 9.25a).

Il est à noter que Jésus exige que le démon ne revienne plus jamais (Marc 9.25) ! Cela semble signifier que le garçon était la victime (avant sa guérison) d’un « va et vient » du démon. Jésus n’admet nullement que le démon expulsé revienne un jour habiter le jeune homme guéri. Cela veut dire clairement que lorsqu’un individu a été délivré, le démon ne peut jamais revenir en lui (mais voir point 6 ci-après pour compléter cette affirmation).

Deux remarques pour clore cette intervention spéciale :

– Le but des démons en possédant des individus est leur destruction, jusqu’à la mort si possible (cf. Marc 9.18,21-22,26).

– Le « succès » de l’exorcisme dépend de la prière de foi, celle qui exprime une réelle dépendance de Dieu pour qu’il accomplisse l’impossible (Marc 9.28-29). Dans ce domaine, la foi en un don particulier pourrait devenir un piège subtil. Un succès passé n’est pas une garantie perpétuelle de réussite.

5. Le démoniaque muet (Mat 9.32-34)

Peu de détails sont donnés sur les antécédents de ce muet. Serait-ce sage de suggérer à ceux qui croient avoir le don d’exorcisme de ne pas être trop curieux d’une manière morbide, en fouillant trop longuement dans le passé de la victime. Jésus agit, sans qu’aucun détail soit donné. Ainsi l’attention reste fixée sur sa personne.

6. Le démoniaque aveugle et muet (Mat 12.22 ; Luc 11.14)

Cet exorcisme est tout aussi rapide, simple, net et sans effort que le précédent. La parabole de la maison ornée et balayée (Mat 12.43-45) ajoute un enseignement nécessaire : le pécheur délivré par l’exorcisme est vide à l’intérieur ; si ce vide n’est pas rempli par le Saint-Esprit, l’état du « vidé » s’aggrave pour devenir pire que sa première condition ! Il est possible qu’une personne soit délivrée d’une possession sans pour autant qu’elle se convertisse au même moment, d’où le risque de rechute.

7. La femme courbée (Luc 13.10-17)

Contrairement aux apparences, ce cas n’est pas une exception. Jésus voit cette femme âgée. Immédiatement, il va vers elle et lui annonce simplement qu’elle est dès ce moment délivrée de son « asthénie ». La cause de son problème est réglée par la parole du Maître ; par son toucher, ce dernier l’aide ensuite à redresser ce corps rigide depuis 18 ans (une session de « kiné céleste » !).

Quelques applications

Voici quelques principes à retenir de ces 7 cas :

– Chaque cas est différent et il convient de prendre en compte les circonstances et la personne, selon le discernement accordé par le Saint-Esprit.

– Un exorcisme se passe dans le calme, sans aucune lutte longue et laborieuse, sans ostentation publique, sans cris ni transes de la part de l’exorciste.

– Comme pour les disciples (cas 4), il serait présomptueux pour quelqu’un qui croit avoir le « don de chasser les démons » de penser que ses interventions seront toujours couronnées de succès.

– L’humilité conduit à ne pas faire publicité de ses « exploits » ; la gloire doit être laissée au Seigneur, le vrai « guérisseur ». Le but de l’exorcisme est de faire voir Jésus, et non pas d’attirer le regard sur le « chasseur », car il n’est qu’un instrument.

– Il ne convient pas de toucher la personne possédée, car cela pourrait être compris comme un acte d’identification positive.

– Chaque victoire de Jésus est permanente. Il n’est donc pas nécessaire de revenir encore et encore pour être délivré. Le « délivré » ne doit jamais vivre dans la peur que l’hôte maléfique d’autrefois puisse revenir en lui (cf. cas 4). Lors de sa conversion, il a été délivré « de la puissance des ténèbres » (Col 1.13a) et son corps est devenu le temple du Saint-Esprit (1 Cor 6.19). Satan ou un démon ne peuvent jamais cohabiter avec l’Esprit saint ! En dépit de cette promesse, le diable est toujours à la recherche de celui qu’il pourrait « avaler » (1 Pi 5.8) — c’est-à-dire attaquer de l’extérieur, pourchasser, éventuellement jusqu’au martyre.

– La personne délivrée peut avoir besoin d’un accompagnement spirituel pratique pendant un certain temps pour l’aider à « se redresser » (cf. cas 7).

– Le N.T. ne mentionne qu’une seule fois que Satan est entré dans un homme : Judas (Luc 22.3 ; Jean 13.27). Satan est une créature ; il ne peut donc pas être partout en même temps. Ce sont ses acolytes, les démons, qui œuvrent sous sa direction. Leur nombre est inconnu, mais il n’est pas infini.

Notons aussi qu’il faut faire la différence entre d’une part la possession et d’autre part une maladie mentale, un accident entraînant des troubles cérébraux3, des conditions psychologiques spécifiques dues à l’hérédité, la déficience d’une hormone cérébrale, etc. Tout comportement dit « anormal » ne doit pas être catalogué comme « démoniaque ».

Avant de poser un diagnostic, il est capital de faire preuve de discernement. Et j’ajouterai qu’il est même préférable que toute situation soit traitée par au moins deux hommes expérimentés, fondés dans la doctrine et ayant une vie équilibrée.

Par ailleurs, chez nous qui sommes convertis, la chair s’exprime trop souvent et d’une très mauvaise manière parce que nous ne marchons pas dans la puissance de l’Esprit saint, mais cela n’est pas assimilable à la possession démoniaque. Le chrétien qui pèche (et qui ne pèche pas ?) est totalement responsable de son acte. Blâmer un démon pour un péché peut être une fausse excuse.

Exorciser ou ne pas exorciser ?

Une étude plus approfondie de notre thème serait nécessaire pour établir ce que le livre des Actes et les Épîtres enseignent à ce sujet. Les conclusions provisoires auxquelles nous sommes parvenus ne sont pas démenties par les textes subséquents du N.T. et nos lecteurs peuvent s’en assurer par eux-mêmes. Nous maintenons donc notre affirmation initiale : la Bible (surtout le N.T.) doit constituer notre seul manuel authentique d’exorcisme.

Rappelons également que cette activité très spéciale n’est confiée qu’à peu de personnes. Celles-ci doivent être hautement qualifiées spirituellement. Leur ministère, si peu fréquemment mentionné dans le N.T., ne doit jamais devenir central ou prestigieux, car il est spirituellement dangereux et conduit facilement à l’orgueil.

1 Certains ajoutent Ps 109.6, où « adversaire » se lit litt. « Satan ».
2 Plutôt que « menace ».
3Mon frère aîné eut le crâne écrasé à sa naissance ; cela entraîna pendant toute sa vie de l’épilepsie, parfois jusqu’à 22 crises par jour.

Share on FacebookShare on Google+Tweet about this on TwitterShare on LinkedInEmail this to someonePrint this page
Dossier : L'occultisme démasqué
 

McCarty Scott
Scott McCarty a fait ses études en théologie au Dallas Theological Seminary, aux États-Unis. Il exerce un ministère d’enseignement biblique en France depuis 1971. Cofondateur du Centre d’information à l’évangélisation et à la mission à Grenoble, il est membre de Promesses et auteur de nombreux articles.