Série: Il nous faut sa présence
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1.Tu me rempliras de joie par ta présence

Tu me rempliras de joie par ta présence
Actes 2 : 28

En avons-nous tous fait l’expérience ? Le chemin du chrétien est parfois si rocailleux si déroutant, semé d’embûches et d’imprévisibles difficultés, qu’il nous arrive de nous arrêter, le coeur las et découragé; nous ressentons au plus profond de nous -mêmes le besoin d’une vraie solution, d’un authentique remède. Où donc le chercher ? Dans sa Parole, Dieu est bien clair; Il nous donne non seulement des conseils et nous exhorte, mais mieux encore: Sa présence.

Car c’est sa présence qui apporte à nos coeurs la joie.

En effet, Jésus déclare: «Je suis le pain de vie, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif » (Jean 6 : 35). Nos coeurs ont une intense soif de bonheur, ce qui doit être considéré comme normal. Il est urgent et même nécessaire que ce besoin soit satisfait, car s’il ne l’est pas, le chrétien cherche la solution ailleurs, c’est-à-dire dans le monde. Or, Jésus désire nous rendre heureux à un point tel que nous n’aurons plus aucun désir de regarder aux misérables plaisirs de la terre; ces derniers paraîtront alors bien ternes à nos coeurs rassasiés.

Prenons sa Parole au sérieux.

Lorsque Jésus dit: « Jamais soif » (Jean 6 : 35), cela signifie que les « citernes crevassées » (Jérémie 2 : 13) ont vraiment perdu tout attrait pour nous. Si ce n’est pas vraiment notre expérience, il nous faut découvrir, et sans tarder, que notre cher Sauveur est vraiment lui-même « l’eau vive » et qu’Il souhaite ardemment nous en faire part.

Certains passages de l’Ecriture deviendraient plus clairs pour nous, car, avouons-le, nous nous sommes demandé comment Paul et Silas pouvaient chanter les louanges de Dieu, alors qu’on venait de les battre de verges, de les jeter en prison, de mettre des chaînes à leurs pieds… Certes, nous devons reconnaître qu’il faut moins que cela pour faire descendre notre moral à zéro !

C’est bien simple: Jésus était avec eux dans la prison de Philippes. Leur joie était si grande qu’ils chantaient, à la grande surprise des prisonniers qui devaient bien se demander quel était le secret d’une telle allégresse.

Joie par sa présence.

Vous ne vous demanderez plus, lorsque vous étudierez l’épître de Paul aux Philippiens, pourquoi l’auteur, alors prisonnier à Rome, est rempli d’une si grande joie, bien qu’il soit privé de tout ce qui contribue à faire ordinairement le bonheur de l’homme. Son secret réside en un mot: « Christ ».

Qu’il me soit permis de m’adresser à ceux qui sont dans la prison de la maladie ou de telle autre rude épreuve: Votre Sauveur veut vous accorder la joie de sa présence à tel point que vous provoquerez l’étonnement de ceux qui vous côtoient. Alors. s’ils vous interrogent, vous leur direz la source mystérieuse de votre grande paix,

SA PRESENCE

et vous aurez ainsi une porte ouverte pour exposer un message qui s’appelle : la Bonne Nouvelle.
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