(Du Mennonite Herald, J. B. Debson, médecin en chef)

J’entrai dans un temple. Je ne puis me rappeler le message du pasteur mais il parlait comme s’il connaissait Jésus personnellement. Le chant aussi laissait penser que les fidèles croyaient aux paroles qu’ils chantaient. Il y avait là, sur leurs visages, une joie que je n’avais vue dans aucune autre église.
Nous étions en vacances sur l’île de Barbade à population noire. Je reconnus plus tard que l’Esprit de Dieu avait métamorphosé ces gens. Nous fûmes accueillis très amicalement.
Ce soir-là, pour la première fois depuis ma majorité, je me mis à genoux et je priai « S’il y a un Dieu, alors qu’il me donne ce que possèdent ces gens – ce que l’on ne peut acheter avec de l’argent ».
Ils étaient si heureux alors qu’ils ne possédaient presque rien. Et moi, qui possédais tant de choses, j’étais malheureux l Puis j’eus l’impression très nette que Jésus-Christ me manquait. Et brusquement l’idée me vint « Oui, Jésus a dit qu’il était la vérité ».
Plus tard, je passai un temps à douter. Pourtant, j’ouvris le Nouveau Testament pour me renseigner, afin d’apprendre par l’intermédiaire d’hommes qui L’avaient connu personnellement. Simultanément, une pensée opposée à la première se glissait dans mon coeur : j’espérais trouver quelque raisonnement qui justifierait mon désaccord avec le christianisme. Mais je ne trouvai rien de valable. Dans la Bible, je lus ces mots « L’homme ne vit pas de pain seulement ! » Eh ! bien oui, j’avais fait cela pendant quarante ans ! Mais maintenant, au moment où je L’acceptai comme Sau­veur, Il me libéra ! Toute ma vie changea. Je réalise en ce moment que ce que la Bible nomme une nouvelle naissance est une réalité. Jésus prend soin maintenant de toute ma vie Il me donne de la sagesse et apporte une solution à tous les pro­blèmes de ma profession il facilite les décisions à prendre.
Celui qui a été élevé dans une famille chrétienne ne se rend pas compte combien il est saisissant, émotionnant d’accepter le pardon de Dieu et la grâce qui est on Jésus-Christ, puis de lire ensuite, avec des yeux émerveillés, Sa Parole !
Maintenant, j’ai la paix que ni argent, ni alcool, ni drogues ou parties fines n’ont jamais pu me donner…

Une soeur parle à ses soeurs en Christ

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