DAVID (Agnes SCOTT KET)
Auteur: Agnes SCOTT KENT
Editeur: La Joie de l’Eternel, , B.P. 1, FR-25660 SAONE, France (91 pages)
Témoignage «composé à partir d’expériences réelles de la vie de plusieurs personnes juives que l’auteur connaît personnellement et qui, pour avoir confessé Christ, ont souffert de la perte de ce qui leur était le plus cher». Ce témoignage touchant est sorti en forme de livre et nous le recommandons chaleureusement.
Une missionnaire travaillant parmi les juifs a apporté l’Evangile à David, fils d’un rabbin. Il a alors 12 ans et est suivi par la missionnaire. Il se convertit par la lecture de la Bible et avec l’aide de cette dame, mais à l’insu de ses parents. Le jour où il confesse ouvertement le Christ comme son Sauveur, il est chassé de la maison par son père. Après bien des années, on l’informe un jour de la fin proche de sa maman. Il peut encore la voir et apprend à son chevet que sa maman aussi s’est convertie au Christ. Peu de temps après l’ensevelissement de sa maman, il rencontre son père et ses deux sœurs et apprend à sa plus grande surprise qu’eux aussi ont rencontré le Messie, Jésus-Christ, leur Sauveur, après tant de résistance et de combats intérieurs.
Récit poignant de la puissance de Dieu pour sauver aussi ceux du peuple juif qui Le cherchent de tout leur cœur. Nous pensons au grand moment glorieux où le résidu juif fidèle reconnaîtra le Christ comme son Sauveur et Messie, à son apparition visible, personnelle et corporelle, en posant ses pieds sur la montage des Oliviers pour juger les nations et opérer la «réintégration» de «tout Israël sauvé». La partie incrédule de son peuple et hostile au Messie aura également été jugée (Rom 11.11-35; Ez 36.24-27; 37,21-28; Zach 12.8-14; 14; 2 Thes 1.7- 10;Apoc 19.11-21). Période grandiose aussi, où toutes les nations, y compris les peuples musulmans, seront bénis de l’Eternel et afflueront à Jérusalem, centre des nations, pour L’adorer, et où «une nation ne lèvera plus l’épée contre une autre nation et où l’on apprendra plus la guerre» (Es 20.23-25; Mich 4.1-8).
Henri LÜSCHER