Jésus-Christ, l’agneau de Dieu
I) « Où est l’agneau pour l’holocauste ? » (Gen. 22: 1-13 – Hébr. 11 : 17-19).
- Qu’est-ce qu’un holocauste ? (Lév. 1 : 3, 9). Un sacrifice devant être entièrement consumé sur l’autel d’où le parfum montait vers Dieu.
- Ces sacrifices d’animaux pouvaient-ils ôter les péchés ? Non ! (Héb. 10: 4, 11).
- A quoi servaient-ils donc ? Ils étaient des ombres, des images de l’unique et immense sacrifice de Christ sur la croix (Héb. 10 : 11-14).
- Qu’est-ce qu’un substitut ? Un innocent prenant la place d’un coupable. Ex. : Gen. 22 : 13: un bélier offert en holocauste à la place d’Isaac. Ex. 13 : 13 un ânon racheté avec un agneau, etc. Christ a été notre substitut.
- Où est l’agneau pour l’holocauste ? « Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste ». Dans cette réponse, on peut voir aussi la foi des vrais croyants avant J.-C. Ils attendaient la venue du Rédempteur promis dès le jardin d’Eden (Gen. 3: 15). Lire I Pierre 1: 18 à 21.
(Ex. 12: 1-13, 21-30). Ce récit nous aide à comprendre la valeur infinie du précieux sang de Christ.
- Savons-nous que « sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon » (Héb. 9 : 22). Toute la Bible est remplie de la doctrine du sang de l’expiation.
- Qu’est-ce qui a sauvé les premiers-nés ? Leurs bonnes résolutions ? Leurs bonnes oeuvres ? Non ! Uniquement le sang : ils étaient à l’abri (v. 13).
- Où devait être mis le sang ? (v. 7). Pas de sang à terre : il aurait pu être piétiné. Hélas ! C’est ce que le monde fait: il méprise et piétine le précieux sang de Christ qui seul « purifie de tout péché » (voir I Jean 1: 7).
- Ai-je placé le signe ? (v. 13). Suis-je à l’abri du sang de l’Agneau de Dieu ? (Voir la maison de Rahab à l’abri du cordon rouge, Josué 2 : 17-18).
- A quel prix avons-nous la paix avec Dieu ? (Rom. 1 : 1, 6-11 – Col. 1 : 20 fin).
(Jean 1: 29).
- Quel témoignage tous les prophètes rendent-ils de Lui ? (Actes 10 : 43).
- Avons-nous reçu ce pardon et la connaissance du salut ? (Luc 1 : 77).
- Comment cet Agneau a-t-il ôté nos péchés ? (Es. 53 : 5, 6, 11 – I Pi. 2: 24).
- Qu’est-ce qu’Esaïe dit du Christ sept siècles avant Sa venue ? (Esaïe 53 : 7).
- Quel cri de joie fut poussé par Jean-Baptiste en voyant Jésus ? « Voilà l’Agneau de Dieu ! » (Lire Jean I : 35-42). Regardons-Le (v. 36). Suivons-Le (v. 37). Cherchons sa présence (v. 39). Parlons de Lui (v. 41). Conduisons d’autres personnes à Lui (v. 42).
Il y a dans l’Apocalypse seulement, 28 textes faisant mention de l’Agneau.
- Quel est le chant des rachetés de Christ sur la terre ? (Apoc. 1 : 5, 6).
- Quel sera leur « cantique nouveau » dans le ciel ? (Apoc. 5 : 8-10).
- Que diront les anges ? (Apoc. 5 : 12). Et toutes les créatures ? (Apoc. 5: 13).
- Quelle est l’efficacité du sang de l’Agneau ? (Apoc. 7 : 14 fin et 12 : 11).
- Votre nom est-il inscrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé ? (Apoc. 3: 5 – 13: 8 – 17: 8 – 20: 11-15 – 21: 27).
- Craignez-vous la colère de l’Agneau ? (Apoc. 6 : 15-17) ou chantez-vous à l’abri de Son sang, le cantique de délivrance du racheté ? (Es. 12: 1).
- Serez-vous présent au festin des noces de l’Agneau ? (Apoc. 19 : 7-9).