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Minuit chrétien

Nous vivons des temps extraordinaires. Le monde entier est en ébullition. Satan, meurtrier dès le commencement, est à l’origine des guerres et des meurtres toujours plus fréquents.

Sur le plan social,
une vague de haine, de révolte, de racisme et de nationalisme à outrance déferle sur tous les peuples.
La théologie moderne
n’arrange guère les choses et la Bible, Parole de Dieu, subit ses attaques violentes. Aussi assistons-nous à une union d’églises multitudinistes où l’on ne tient plus tellement compte du message central de l’Evangile: la déité de Jésus-Christ, son oeuvre rédemptrice et expiatoire à la Croix du Calvaire et son sang précieux, versé pour racheter le pécheur perdu. Il n’est pas exclu que les chrétiens fidèles auront à subir des persécutions de la part de la grande pseudo-église dont l’oecuménisme est le précurseur.
Des catastrophes naturelles
se suivent à des rythmes toujours plus rapprochés.
Le monde politique,
les gouvernements commencent à être dépassés par des situations jusqu’ici inconnues. Le mot anarchie prend un sens plus réel, hélas!

Tout cela est le prélude
à des conflits mondiaux inconnus jusqu’ici: les jugements apocalyptiques. Et notre globe est mûr pour cela; il faut le dire. D’ailleurs, la décadence morale s’étend, comme jadis au temps de Noé et de Sodome. Mais, pour le chrétien, c’est l’approche de la délivrance finale. Le Seigneur Jésus va venir chercher tous les siens avant le déclenchement de ces jugements (1 Thess. l, 10; chap. 4; Jean 14). L’atmosphère est chargée de mal. Satan sait qu’il a peu de temps. Le terme «enlevé» ou «ravi» (dans 1 Thess. 4,17) exprime l’idée d’une délivrance de l’Eglise de Christ (composée de tous ceux qui ont cru en Lui), avant un grand danger. Nul n’est besoin de prouver cette affirmation. Face aux difficultés grandissantes, au chaos de plus en plus général, l’Eglise de Christ tout entière sera enlevée dans les cieux, pour être toujours avec le Seigneur.
Sommes-nous prêts
à rencontrer notre Seigneur? Si c’était aujourd’hui ou un de ces prochains jours, que ferions-nous?
   -Nous nous réconcilierions avec les frères qui nous ont fait du tort.
   -Nous demanderions pardon à ceux que nous avons offensés.
   -Nous prierions avec ferveur et intensité.
   -Nous travaillerions d’une façon différente. Le travail serait accompli avec plus de conscience professionnelle et le Seigneur aurait la première place dans nos coeurs.
   -Nous ne manquerions aucune occasion de témoigner pour Jésus-Christ devant les incroyants. Non seulement nos paroles, mais notre attitude, notre vie tout entière deviendraient la manifestation d’une Bible lue devant les hommes perdus. Et il y aurait des âmes sauvées autour de nous.
   -Nous pratiquerions l’amour fraternel sans partialité et nos églises locales seraient un coeur et une âme pour adorer Dieu, pour méditer sa Parole, pour prier avec ferveur et pour évangéliser ceux qui nous entourent.

Pourquoi
ne le faisons-nous pas, puisque le Seigneur va venir? Chrétiens, humilions-nous sous la puissante main de Dieu. Conscient de ses faiblesses, l’auteur de ces lignes supplie tous les lecteurs de PROMESSES de crier à Dieu, pour qu’il donne 1a force et l’énergie spirituelles de faire face à nos responsabilités de chrétiens dignes de son appel.




Communion Bien des gens pensent que la communion est de se sentir heureux. C’est être dans la pensée de Dieu. La communion est de faire la chose juste au bon moment de la bonne façon. En dehors de la communion, vous ne pouvez faire aucune chose correctement.
E. D.


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Lüscher Henri
Cofondateur de la revue, il y a 48 ans, Henri Lüscher se consacre encore à plusieurs tâches administratives et rédactionnelles en faveur de Promesses.