Si grâce au Seigneur
je devenais poète,
oh! j’ouvrirais mon coeur
et mes lèvres muettes
crieraient à l’aimé
tant d’amour comprimé.

Si j’étais un clochard,
j’irais par monts et vaux
et partout où mon char
trouverait du nouveau,
j’annoncerais à tous
ce que tu fis pour nous.

Si je savais chanter,
mes plus belles chansons,
à bien les écouter,
n’auraient qu’une raison :
je ferais de mon mieux
pour chanter à mon Dieu.

Si j’étais planteur
ou simple jardinier
vivant parmi les fleurs
ou dessous ces pruniers,
bouquets et plus beaux fruits
ne seront que pour Lui.

Je suis né bien pauvre,
mais dans ma pauvreté,
j’ai trouvé un havre
que nul ne peut m’ôter :
l’amour du Dieu vivant,
si tendre et si puissant.

I.E.A

Paraboles

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