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Le sang de Christ

Le sang versé par notre divin Sauveur a au moins 7 résultats bénis pour le chrétien. A ceux-là sont liés 7 titres glorieux de Christ, ainsi que nous le verrons ci-après.

1. « En Lui (Jésus) nous avons la rédemption par son sang, le pardon des péchés ». Quel bonheur de savoir que nous sommes des pécheurs pardonnés, justifiés par l’oeuvre impérissable de celui qui s’est donné pour nous. Dans cette perspective, il est notre Sauveur et nous pouvons nous réjouir de ce « qu’il n’y a plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Lui », d’après Ro. 8: 1. 2. « Celui qui nous aime et nous a lavés de nos péchés dans son sang » (Ap. 1: 5). « Par ses meurtrissures nous sommes guéris » (Es. 53 : 5). L’âme humaine est si gravement malade que dans la pensée de Dieu, elle est déjà virtuellement morte. En vertu toutefois du sang versé à la croix du Calvaire, elle peut être régénérée, guérie et sauvée. Dans ce sens, Jésus est le Grand Médecin envoyé de Dieu et son oeuvre est le remède divin pour une humanité atteinte de la maladie mortelle du péché. 3. « Vous avez été rachetés de votre vaine conduite… par le sang précieux de Christ » (I Pi. 1 : 18-19). « Tu as acheté pour Dieu, par ton sang, de toute tribu, et langue, et peuple, et nation » (Ap. 5: 9). L’homme était esclave de Satan, captif de ses passions. Il a fallu les souffrances et la mort du Fils éternel de Dieu pour que la justice du Père Saint soit satisfaite. Le prix énorme de notre rachat a été payé. Christ a bu la coupe des douleurs et de la malédiction (Mt. 26 : 39), et maintenant il nous offre la coupe de la délivrance et de la bénédiction (I Co. 10: 16). Ici, le caractère de Jésus est celui du Rédempteur. 4. « Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi et moi en lui » (Jn 6 : 56). Il faut s’approprier personnellement – « manger et boire » – Christ et son oeuvre, de telle sorte qu’ils fassent vraiment partie de nous-mêmes. Lors de l’institution de la Pâque, dans le chapitre 12 du livre de l’Exode, le verbe « manger » est répété 7 fois en rapport avec l’agneau qui devait être sacrifié. La foi qui sauve n’est pas seulement une conviction intellectuelle, mais une adhésion totale de l’être entier. Dans la communion de « l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde », nous recevons vie et forces spirituelles. Ainsi, l’homme nouveau créé en Christ peut croître et se fortifier. 5. « Nous avons communion les uns avec les autres, et le sang de Jésus-Christ, son Fils, nous purifie de tout péché » (I Jn 1 : 7). « Si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus- Christ »(I Jn 2: 1). N’est-il pas merveilleux de savoir que Christ est mort aussi pour nos péchés de chrétiens! Il est maintenant notre Souverain Sacrificateur et Avocat auprès du Père et il plaide pour nous, alors que Satan nous accuse. Nous savons toutefois que c’est le Seigneur qui a le dernier mot (voir Za. 3: 1-5) , car il a accompli l’expiation de nos fautes à la pleine satisfaction de Dieu. 6. « L’accusateur des frères (Satan) a été précipité; et eux l’ont vaincu à cause du sang de l’Agneau et de la parole de leur témoignage » (Ap. 12 : 11). Il y a victoire pour tout chrétien qui se met à l’abri du sang de Jésus (Ex. 12: 13) et témoigne hardiment de lui, même si cela implique difficultés ou persécutions. Emparons-nous donc pratiquement de la victoire remportée à la croix par Christ sur toutes les puissances des ténèbres. Dans cette perspective, il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. 7. « Ayant donc frères, une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus, par le chemin nouveau et vivant qu’il nous a consacré à travers le voile »(Hé. 10: 19). « A cause de ceci le Père m’aime, c’est que je laisse ma vie afin que je la reprenne. Personne ne me l’ôte, mais je la laisse de moi-même ». O ! merveille de l’amour divin qui nous réconcilie avec le Père et nous donne un accès direct jusqu’à lui en vertu du sang versé de Christ. Nul ne pouvait lui prendre sa vie, mais il l’a donnée librement. Le Fils de Dieu qui était lui-même la Vie meurt également « pour rassembler en un seul corps les enfants de Dieu dispersés » (Jn 11 : 52). Nous sommes appelés désormais à porter du fruit à sa gloire. Si Dieu a donné son Fils unique pour nous sauver (Jn 3: 16), nous sommes exhortés par la Parole de Dieu à donner maintenant notre vie pour nos frères dans la foi (I Jn 3 : 16).
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