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Inspiration et autorité de la Bible

(Première partie)

Ce message fut délivré par M. Frank Horton, ancien directeur de l’Institut Biblique, Emmaüs, St-Légier (Suisse) lors de la Convention Biblique, le 3 juin 1989 à Lausanne. Dix ans après, il garde plus que jamais son importance et son actualité. Nous remercions son auteur de l’autorisation de le publier. Cette publication se fera en trois volets, dont voici le premier.

I. Introduction

Mon exposé sera une élaboration de l’affirmation de l’apôtre Paul, lorsqu’il écrit à Timothée (2 Tim. 3.15,16): Toute Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre. Le texte grec, qui fait suivre un sujet – Toute Ecriture – par deux attributs – inspirée et utile – nous autorise à suppléer le verbe sous-entendu, est, deux fois, d’où la lecture suivante, parfaitement légitime: Toute l’Ecriture est inspirée de Dieu, et elle est utile pour enseigner, etc.

Le sujet que nous devons traiter est vaste, et de nombreux livres lui ont été consacrés par des auteurs évangéliques au cours de ces 140 dernières années. Prenons l’exemple de l’attitude du Christ par rapport aux Saintes Ecritures et de l’utilisation qu’il en a faites: le théologien britannique, John Wenham, lui a consacré une thèse de 250 000 mots qui devait ensuite être publiée en quatre volumes !

Vous me voyez donc contraint de procéder par touches rapides, d’indiquer des pistes de réflexion sans m’y engager, et de souligner les thèmes qui me paraissent importants dans le contexte actuel. Je mettrai, par conséquent, l’accent sur l’autorité de la Bible, car à l’heure où nous sommes, c’est là que le bât blesse. Cela n’a rien de nouveau, me direz-vous, car l’humanité, comme nous le rappelle le Psaume 2, n’a jamais cessé de contester l’autorité de Dieu et de son Christ. A ce sujet Norval Geldenhuys écrit:

« Dès le début, l’acceptation sans réserve de l’autorité suprême de Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur a été le fondement de l’Eglise chrétienne. Judas rejeta son autorité et connut une mort honteuse. Après que la nation juive eut repoussé l’autorité du Seigneur, malgré sa résurrection, l’effusion du Saint-Esprit et l’activité missionnaire des apôtres, Jérusalem et l’état juif furent détruits en l’an 70 !

L’empire romain des trois premiers siècles choisit de diviniser les empereurs et tenta plusieurs fois d’effacer tout attachement à Jésus-Christ. Bientôt le grand Empire mondial fut relégué au passé.

L’Eglise catholique romaine éleva (sinon en théorie, du moins en pratique) la tradition, l’Eglise, le clergé et le pape au rang de l’autorité qui appartient de droit au Seigneur seul. Le résultat fut la corruption et les ténèbres spirituelles.

Dans son refus de se courber devant l’autorité suprême du Seigneur et de sa Parole, le soi-disant libéralisme des 19e et 20e siècles conduisit à la banqueroute spirituelle et à une confusion totale.

Le rejet arrogant de l’autorité de Jésus par le nazisme, le fascisme et le communisme athée, a produit l’assujettissement de millions de personnes à des tyrans monstrueux ». (Résumé de J.N. GeIdenhuys, p. 371s.)

Mais l’Eglise de Jésus-Christ échappe-t-elle à cette crise d’autorité ? Ai-je besoin de vous rappeler ce qui est l’évidence même, savoir que même dans nos communautés évangéliques la Bible fait figure de parent pauvre ? Et qu’une église qui n’étudie plus l’Ecriture, qui ne se nourrit plus d’un enseignement biblique systématique, qui ne se soumet plus à l’autorité de la Parole de Dieu, est condamnée, à brève échéance, à voir enlever son chandelier par le Seigneur de l’Eglise ?

C’est pourquoi je voudrais que mon exposé, après un rappel de ce que nous croyons et professons, soit surtout un appel – vibrant si Dieu le permet – à une prise de conscience de la gravité de la situation dans laquelle nous nous trouvons, et à l’engagement qui s’impose. Et dans le développement de mon thème je voudrais rester simple et pratique.

Nous commencerons par affirmer nos convictions, puis nous définirons les termes clés. Ensuite, nous rappellerons les fondements solides sur lesquels sont placées l’inspiration et l’autorité de la Bible. Enfin, nous consacrerons une réflexion à quelques prolongements pratiques dans notre vie chrétienne et le témoignage de nos églises.

II. Affirmations et définitions

Que croyons-nous, en notre qualité de chrétiens évangéliques ? L’article 2 de la Déclaration de Lausanne (1974), à l’élaboration duquel feu Francis Schaeffer avait contribué, luttant de pied ferme pour que les auteurs prennent une position claire et sans équivoque, dit :

« Nous affirmons l’inspiration divine, la vérité et l’autorité de l’Écriture, Ancien et Nouveau Testament, dans sa totalité. Il n’y a point d’erreur dans tout ce qu’elle affirme. Elle est la seule Parole écrite de Dieu et l’unique règle infaillible de foi et de vie. Nous affirmons aussi que cette Parole est puissante pour accomplir le dessein de Dieu. Le message de la Bible s’adresse à l’humanité entière car la révélation de Dieu en Christ, telle que nous la trouvons dans l’Ecriture, ne saurait changer. Par elle, le Saint-Esprit continue à nous parler aujourd’hui; dans chaque culture il illumine l’intelligence du peuple de Dieu afin qu’il perçoive personnellement et de façon nouvelle la vérité divine et qu’il révèle ainsi à l’Eglise entière la sagesse infiniment variée de Dieu » (art. 2 de la Déclaration de Lausanne).

Cette déclaration, certes claire en soi, a pourtant besoin d’être étayée par une explication des mots-clés.

Révélation

 » La révélation est l’action par laquelle Dieu se fait connaître à sa créature. » (R. Pache, p. 41)

Parlant de la révélation, P. Berthoud évoque « le Dieu personnel et, plus particulièrement, sa capacité de communiquer selon les catégories de langage humain de telle sorte que l’homme puisse réellement comprendre, par le moyen de son intelligence « éclairée », sa sagesse » (P. Berthoud. p. 5).

Inspiration

« L’inspiration est l’influence déterminante exercée par le Saint-Esprit sur les auteurs de l’Ancien et du Nouveau Testaments pour qu’ils annoncent et rédigent de façon exacte et autorisée le message reçu de Dieu. Cette influence les a guidés jusque dans l’emploi des mots. » (R. Pache, p. 41).

« Le mot « inspiré », utilisé dans 2 Tim 3.16, signifie littéralement, selon le dictionnaire grec, «expiré par Dieu». Ce mot affirme clairement que toute l’Ecriture est le produit du souffle de Dieu. Par conséquent le sens biblique de l’inspiration s’élève loin au-dessus de toute tentative de limiter l’inspiration à une action dynamique » (Eui Whan Kim, p. 983).

Inerrance et infaillibilité

La définition de l’inspiration verbale et plénière implique qu’en rédigeant les manuscrits originaux, les auteurs sacrés ont été guidés de telle manière qu’ils ont transmis parfaitement et sans erreur le message exact que Dieu désirait communiquer à l’homme.

Les termes d’inerrance et d’infaillibilité nous paraissent à peu près interchangeables. En fait, si l’Ecriture est infaillible, elle n’est pas capable d’erreur; si elle est inerrante, c’est qu’elle ne contient pas d’erreur.

« L’inerrance est la pointe de la théopneustie; elle marque nettement la ligne qui sépare les évangéliques biblicistes d’une part, et les théologiens libéraux et dialectiques qui la nient d’autre part » (R. Pache, p. 111).

Kirsoop Lake, qui n’était point ami de la position des évangéliques, a écrit (en 1926) :

« Des personnes instruites mais mal renseignées en théologie historique, commettent souvent l’erreur de penser que le fondamentalisme est une forme de pensée nouvelle et étrange. Au contraire, il est la survivance ignorante et partielle d’une théologie à laquelle tenaient autrefois tous les chrétiens d’une façon universelle. Non, le fondamentaliste peut avoir tort, et je crois qu’il est dans l’erreur. Mais c’est nous qui nous sommes éloignés de la tradition, et non pas lui; et je crains pour le sort de quiconque essaie de confronter un fondamentaliste sur le plan de l’autorité. La Bible et le corpus théologique de l’Eglise sont du côté fondamentaliste » (cité par F. Schaeffer, p. 16).

Vérité

Etant donné que l’Ecriture est la Parole écrite de Dieu, elle est nécessairement vraie. Car Dieu n’est point un homme pour mentir (Nom 23.19). Au contraire, comme le dit Jésus lui-même dans sa prière adressée au Père, Ta parole est la vérité (Jean 17.17). Et puisqu’elle est vraie, elle est sans erreur dans tout ce qu’elle affirme (World Evangelization, janv. 1989, p. 9).

La Bible attache beaucoup de poids à la vérité. Dieu ne ment jamais (Tite 1.2). Il est vrai, alors même que tout homme serait menteur (Jean 3.33; 7.28; 8.26; Rom 3.4; 1 Thes 1.9; 1Jean 5.20; Apoc »3.7; 6.10). Il est le Dieu de la vérité (Es 65.16; Ps.31.6). Ses jugements sont véridiques (Rom 2.2; Apoc 16.7). Christ est la vérité (Jean 14.6), plein de vérité (Jean 1.14), vrai (Act19.11). Il est la lumière véritable (Jean 1.9), le vrai pain (Jean 6.32) et le vrai cep (Jean 15.1). Il rend un témoignage vrai (Jean 8.14) et il est le témoin véritable (Apoc 3.14). Il dit la vérité entendue de Dieu (Jean 8.40). La vérité est en lui (Eph 4.21) et elle peut pénétrer chez les hommes (2 Cor Il.10). L’Esprit est l’Esprit de vérité (Jean 14.17; 15.26; 16.13; cf 1 Jean 5.7) et il conduit les hommes dans la vérité (Jean 16.13). La parole de Dieu est la vérité (Jean 17.17). Cette vérité doit être connue (1 Tim 2.4; 4.3; 2 Tim 3.17; Héb 10.26; 1 Jean 2.21), crue (2 Thes 2.12s), obéie {GaI 5.7; 1 Pi 1.22) et aimée (2 Thes 2.10). Les chrétiens sont de la vérité (1 Jean 3.19), et l’Eglise est la colonne et l’appui de la vérité(1 Tim 3.15) (L. Morris, p. 137s).

Authenticité

La question de l’authenticité nous ramène immanquablement à celle de l’autorité et de l’inspiration des écrits bibliques. Si leur auteur n’est pas celui qui se nomme, à qui les lecteurs l’attribuent tout naturellement et sous le couvert de qui le livre est entré dans le canon des Ecritures, il y a « fraude ou tentative de fraude ». Comment pouvons-nous croire que le Saint-Esprit ait inspiré un homme dont les intentions n’auraient pas été pures, qu’il ait approuvé son écrit en couvrant sa supercherie auprès des chrétiens responsables de la constitution du recueil des écrits sacrés et qu’il l’ait utilisé au cours des siècles pour l’édification des croyants ? Comment un tel écrit peut-il conserver une réelle autorité pour nous ? (A.Kuen, Messages… p. 245)

Autorité

« Nous affirmons l’autorité divine de la Bible, et uniquement de la Bible. Celle-ci est la Parole inscripturée de Dieu donnée aux chrétiens pour tous les temps, et elle porte avec elle tout le poids de l’autorité de Dieu » (K.S. Kantzer et B. Fleming. p. 992).

« Quand nous parlons de l’autorité de l’Ecriture, nous entendons la qualité par laquelle elle exige la foi et l’obéissance à toutes ses déclarations » (D.M. Lloyd-Jones, p. 44).

L’ordre des trois mots (inspiration, vérité, autorité) est logique. C’est 1’inspiration divine de l’Ecriture qui garantit sa vérité, et c’est parce que l’Ecriture est la vérité de Dieu qu’elle exerce l’autorité sur les hommes. En fait (selon la Confession de Westminster), elle est la seule règle infaillible de foi et de vie. Diverses églises attachent une valeur secondaire à des règles touchant au Credo, aux confessions et aux traditions, à ce qui gouverne leur foi (ce qu’elles croient et enseignent) et à leurs pratiques (ce qu’elles font). Tandis que l’Ecriture est la seule règle infaillible devant laquelle toutes les églises doivent humblement se soumettre. Jésus lui-même, dans sa controverse avec les pharisiens, a dit clairement que toute tradition ecclésiastique doit être subordonnée à l’Ecriture, car la première est parole d’homme et la seconde Parole de Dieu (Marc.7.1-13) (World Evangelization, Jan. 1989, p. 9).

Attaques contre l’autorité de la Bible

Les convictions que nous professons ont été forgées dans le feu de la controverse, et confrontées à de nombreuses pseudo-autorités cherchant à se substituer à la seule véritable, celle de Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, révélée dans l’Ecriture Sainte. R. Pache énumère plusieurs de ces « contre-autorités » inspirées, dit-il, par l’esprit rebelle de l’homme:

a) L’homme, à l’esprit rebelle, à la pensée autonome, qui se croit affranchi mais qui, « loin d’avoir supprimé toute autorité, en a simplement choisi une autre ». Les divers courants qui s’opposent à la souveraineté de la Parole de Dieu sont tous issus de la même résistance de l ‘homme en face de son Créateur.
b) L’autorité de l’Eglise. L’Ecriture est soumise à l’autorité de l’Eglise et son interprétation dépend entièrement de cette dernière.
c) L’autorité de la raison religieuse et critique. Aujourd’hui, dit-on, nous ne pourrions plus terminer une discussion avec l’affirmation Il est écrit. Un recours final à ce que dit le texte biblique est impossible. Il faut que le croyant non-spécialisé consulte les théologiens pour savoir en quel texte il peut avoir confiance, comment il faut les lire. Mais comme ces hommes de la critique diffèrent souvent entre eux, il devra encore choisir l’un d’eux. On objecte donc contre l’autorité de Dieu, mais on accepte celle d’un homme.
d) L’autorité de la « Science ». Parfois, c’est la crainte de ne pas paraître assez scientifiques qui pousse certains théologiens à abandonner l’autorité de l’Ecriture. C’est faire preuve d’ignorance que d’accorder à la « Science » et aux « connaissances modernes » une autorité qu’elles ne détiennent pas en réalité. Beaucoup d’affirmations, hypothèses et théories ont été réfutées au cours du dernier siècle par de nouvelles découvertes.
e) La «lumière intérieure». Dissocier de l’Ecriture l’action et l’illumination du Saint-Esprit dans les cours, tend à diminuer le rôle et l’autorité des Ecritures, et même à dire que celles-ci ne sont pas nécessaires. Sans le contrôle constant de la révélation écrite, nous nous retrouvons en plein subjectivisme, et le croyant, même bien intentionné, tombe rapidement dans la déviation, l’illuminisme, ou l’exaltation.
f) Danger de la «bibliolâtrie». Pour celui qui exalte par-dessus tout l’autorité de l’Ecriture, la tentation peut surgir de mettre celle-ci en quelque sorte à la place de Dieu. La bibliolâtrie serait la tendance à séparer 1e livre de la personne de Christ et du Saint-Esprit, à substituer le texte écrit à Celui qui seul est la lumière et le guide des croyants. Placer en cette lettre devenue morte, notre foi, notre respect et notre affection serait certainement une forme d’idolâtrie. (Résumé de R. Pache. P. 282-292).

D.M. Lloyd-Jones évoque une autre approche, subtile et sournoise, qui ruine l’intégrité de la Bible: « On nous dit que nous devons accepter le message, mais sans pour autant nous attacher aux faits racontés. Mais les questions suivantes surgissent aussitôt : Qui décide ce qui est vrai ? Qui décide ce qui a de la valeur ? Comment distinguer entre les faits qui sont vrais et ceux qui sont faux ? Comment différencier entre les faits et leur enseignement ? Comment séparer le message essentiel de la Bible du « background » dans lequel il est présenté ? Et ces questions se posent avec d’autant plus d’acuité que l’Ecriture elle-même ne reconnaît aucune division ni distinction (entre les faits et le message), La Bible entière se présente à nous de la même manière, comme un tout. En d’autres termes, cette approche est fondée sur le principe que la raison de l’homme doit décider. L’arbitre final, la dernière cour d’appel sont et restent, la connaissance de l’homme, la compréhension de l’homme ». (D.M. Lloyd-Jones, p. 34s).

Evoquons encore l’approche barthienne, considérée par beaucoup, même dans les milieux évangéliques, comme un authentique retour à ce que l’Eglise a toujours confessé au sujet de l’inspiration. Voici ce qu’en dit Pierre Courthial : « La doctrine barthienne de l’inspiration remplace l’ancien dualisme horizontal et statique du divin et de l’humain dans l’Ecriture Sainte (qui cherche à distinguer les passages « Parole de Dieu » de ceux qui ne le sont pas), par un nouveau dualisme vertical et dynamique du divin et de l’humain tout est témoignage humain: (et donc faillible) dans l’Ecriture, mais tout peut y devenir Parole de Dieu, dans « l’événement de la foi » […] .Dans cette doctrine « événementielle » il y a quelques excellentes choses: il est vrai que la liberté et la puissance de Dieu sont souveraines; il est vrai que l’homme pécheur a ruiné sa capacité « naturelle » d’entendre la Parole de Dieu; il est vrai que l’homme chrétien ne peut s’emparer de la Parole de Dieu et en disposer; il est vrai que seule la grâce de Dieu peut nous donner d’entendre la Parole. Quand BARTH dit ces choses- là nous devons l’écouter. Il dit là ce que la Bible elle-même nous enseigne; il dit ce que nos confessions de foi réformées et les docteurs qui les ont suivies nous disent.

Mais les théologiens « réformés » ont toujours distingué – sans pour cela les séparer (!) – l’inspiration concernant les auteurs de la Sainte Ecriture et l’illumination concernant ses auditeurs et lecteurs ». (Extraits de P. Courthial, p. 32s).

(à suivre)
N.d.l.r.: Vous trouverez la suite de cet article ainsi qu’une bibliographie détaillée dans le prochain numéro.


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Horton Frank
Après des études au Biblical Seminary à New-York, Frank Horton a été secrétaire général des GBU en France, professeur puis directeur de l’Institut Biblique d’Emmaüs à St-Légier en Suisse. Retraité depuis plusieurs années, il poursuit son ministère d’enseignant. L’article que nous publions est un résumé d’un message donné en Angola, pays où il a passé son enfance avec ses parents missionnaires. Frank Horton est membre du comité de soutien de Promesses.