Dossier: Le Lévitique : Marcher avec un Dieu saint
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Les limites de la sexualité selon Dieu

Lévitique 18.629

Cet article est résumé et adapté d’une prédication de Don Curtis disponible sur le site www.bible.org. Don Curtis est diplômé en philosophie de la Pennsylvania State University et travaille dans l’informatique à Atlanta. Don se passionne pour les études bibliques et l’enseignement. Il est actuellement ancien et enseignant dans une église en Géorgie.

La structure du texte

La structure de Lévitique 18 est très simple, tout comme son message. Ce texte vise à définir les limites, selon Dieu, des relations sexuelles entre humains. Elles sont au nombre de trois : la limite « interne », qui interdit les relations sexuelles entre proches parents (618), la limite « médiane », qui limite les relations sexuelles à la sphère du mariage et les interdit en dehors (1920), la limite « externe », qui définit les relations sexuelles contre nature (2123). Les versets 24 à 29 décrivent le jugement de Dieu sur toute nation qui ne respecte pas ces limites, audelà d’Israël, le peuple de l’alliance.

Le contexte culturel

Quand j’ai commencé l’étude de ce chapitre, je l’ai lu, non comme un ancien Israélite, mais comme quelqu’un dont la vision a été pervertie par la révolution sexuelle. Aujourd’hui, on sépare implicitement les relations sexuelles du mariage. Dans notre culture, on nous dit que le sexe est un instinct similaire à la faim et qu’il est presque impossible de le contrôler. Ce message infuse notre vie de façon subtile et affecte notre vision de la vie et des Écritures.

1. Pour le peuple d’Israël de l’époque, relations sexuelles = mariage.

« Si un homme séduit une vierge qui n’est point fiancée, et qu’il couche avec elle, il paiera sa dot et la prendra pour femme. Si le père refuse de la lui accorder, il paiera en argent la valeur de la dot des vierges. » (Ex 22.1617) Ce verset indique implicitement qu’il n’y avait pas en Israël de relations sexuelles préconjugales. Avoir des relations intimes avec une vierge valait mariage, sauf si le père s’y opposait.

Un autre exemple est Genèse 24.67 : « Isaac conduisit Rebecca dans la tente de Sara, sa mère ; il prit Rebecca, qui devint sa femme, et il l’aima. » Très simplement, Isaac épousa Rébecca en entrant à la vue de tous dans la tente pour avoir des relations sexuelles avec elle. Plus encore, notez qu’Isaac ne savait pas à quoi ressemblait Rébecca ou quel type de personne elle était avant cet événement. De toute évidence, en Israël, il n’était pas question de savoir si deux personnes étaient compatibles. Au contraire, on comprenait que la compatibilité provenait d’abord de ce que les conjoints construisaient ensemble.

2. Les hommes pratiquaient la polygamie et la Torah régulait cette pratique.

Les situations familiales pouvaient, de ce fait, être très complexes. Lévitique 18 contient les lois qui définissent la position la plus libérale pour qu’une société puisse rester intacte.

3. Dès le commencement, avoir des relations sexuelles a signifié « devenir une seule chair ».

Cette « seule chair » n’est pas un attachement émotionnel entre un homme et une femme. C’est ce qui se passe immanquablement lorsqu’un homme et une femme s’unissent physiquement, comme l’affirment la Loi et le N.T. Que cette « seule chair » n’ait pas de signification particulière pour l’éternité est évident d’après la réponse que Jésus fit aux sadducéens (Matt 22).

Donc, si « être une seule chair » n’est pas un lien émotionnel et n’a pas de sens pour notre vie dans le ciel, qu’estce que cela signifie actuellement pour notre vie ? La réponse est simple. Le Seigneur ne fait aucune distinction entre des relations sexuelles et une relation pour la vie : – En Matt 19.46, l’interdiction du divorce est basée sur ce principe d’ « une seule chair ». – 1 Cor 6.16 affirme que toute relation sexuelle fait de deux personnes « une seule chair » et le Seigneur reconnaît cette union comme telle, qu’elle soit légitime ou non. – Mal 2.1316 dit que Dieu a fait de l’homme et de la femme « une seule chair » parce qu’il « recherchait une descendance divine ». Comme je le montrerai, quand une société nie le principe d’ « une seule chair », les enfants ne sont plus en sécurité.

La limite intérieure de la sexualité selon Dieu (v. 618)

Une fois compris ces trois sousjacents culturels et bibliques, Lévitique 18 s’éclaire. La première section (v. 618) interdit toute relation sexuelle avec des proches parents. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui l’inceste1 . Le tableau qui suit résume la liste des relations interdites et indique les punitions liées à la violation de cette interdiction, et détaillées au ch. 20.

VersetRelation Punition (verset du ch. 20)
7Mère et fils Mort (11)
8Bellemère et filsMort (11)
9Frère et sour ou demisour par la mère Retranchement (17
10Père et petitefille Crémation (14)
11Frère et demisour par le pèreRetranchement (17)
12Neveu et tante (sour du père)Stérilité (20)
13Neveu et tante (sour de la mère)Stérilité (20)
14Neveu et tante (femme du frère du père)Stérilité (20)
15 Père et bellefille (bru) Mort (12)
16Frère et bellesourStérilité (20)
17Père et bellefille
Père et bellepetite fille
Mari et bellemère
Crémation (14)
18 Mari et bellesourAucune

Comparez la première interdiction (v. 7, entre mère et fils) avec la dernière (v. 18, entre mari et bellesour). La relation d’une mère avec son fils est bien plus proche émotionnellement et physiquement que celle d’un mari avec sa bellesour ; c’était la relation de sang la plus proche dont on pouvait être certain dans le monde antique. Plus on descend dans la liste, moins les relations sont proches.

Pourquoi cette liste estelle différente de listes similaires dans d’autres cultures antiques ? Parce que, me sembletil, elle est une extension logique du principe de « devenir une seule chair » à travers la relation sexuelle. Par exemple, le v. 18 interdit à un homme d’épouser sa bellesour. Il n’y a pas de raison génétique à cela. Mais si un homme est une seule chair avec sa femme, la sour de celleci devient pour lui comme une sour par le sang.

Au demeurant, les lois sur les proches sont plus détaillées et les punitions plus sévères que les lois similaires de l’Antiquité. C’est significatif car les lois d’une nation protègent ce qu’un peuple considère comme important. La loi de l’Éternel nous indique, par son exactitude et sa sévérité, ce qu’il considère comme important.

Notre civilisation place avant tout la « compatibilité » comme préalable nécessaire à une union réussie. Cette notion ne se trouve pas dans la Bible. Par exemple, le frère qui devait épouser la femme de son frère défunt et la femme en question devaient remplir cette obligation, qu’ils s’apprécient ou pas. Le Seigneur attend avant tout de nous que nous nous entendions et que nous sachions gérer avec amour les différences et les conflits.

La limite médiane de la sexualité selon Dieu (v. 1920)

Le v. 19 interdit d’avoir des relations intimes avec sa femme pendant sa période d’impureté mensuelle. Sous la loi, tout flux corporel était considéré comme impur et les règles ne font pas exception. L’obéissance à cette loi se lie spécifiquement à la sainteté de la conduite sous l’ancienne alliance. Un homme peut l’enfreindre de deux façons : accidentellement (auquel cas il est impur sept jours, tout comme la femme, 15.24), ou délibérément (et la conséquence est la peine de mort, 20.18). L’enjeu est ici celui de la sainteté : pendant sa période de menstruation, la femme est considérée par Dieu comme cérémoniellement impure. Entrer délibérément en contact avec une femme impure est proscrit parce que cela revient à mépriser la sainteté divine.2

Le v. 20 interdit d’avoir des relations sexuelles avec la femme de son voisin. Ce verset est important, car il faut qu’il y ait eu au préalable un changement dans la vision de quelqu’un sur la sexualité avant qu’il commette adultère. L’adultère va à l’encontre du principe de « une seule chair » : on refuse de reconnaître que la personne avec qui on commet adultère est déjà « une seule chair » avec une autre personne. L’adultère dissocie les relations sexuelles du mariage et les élève à un statut indépendant. La sexualité devient un but plutôt que la conséquence d’une relation. Notons aussi que les enfants issus d’une union adultérine sont souvent très mal accueillis !

Le v. 20 fait la transition. Si une société a établi des limites intérieures, médianes et extérieures à la sexualité, c’est cette partie médiane qui s’effondre la première. Et une fois qu’elle est tombée, les deux autres limites s’effondrent rapidement.

La limite extérieure de la sexualité selon Dieu (v. 21-23)

Pendant longtemps, les trois limites de la sexualité selon Dieu étaient fermement établies dans la culture occidentale. Même si des individus isolés pouvaient les rejeter, tant les lois que le consensus populaire maintenaient ces limites. Cela incluait une famille basée sur l’affirmation judéochrétienne d’un couple formé d’un seul homme et d’une seule femme. Le standard moral était même plus élevé que le mariage juif, puisqu’il excluait la polygamie ; cette ancienne pratique avait en effet été abandonnée grâce à l’enseignement de Jésus et au ministère du Saint Esprit dans la vie des hommes.

V

ers le début du XXe siècle, sous les coups de la « haute critique » théologique qui discréditait la Bible et sous l’influence des théories évolutionnistes, la société se détourna de Dieu et, peu après, les relations sexuelles se détachèrent du mariage. Le sexe était devenu autonome. Quelque part, quelqu’un eut l’idée que l’attraction romantique était la fondation idéale d’une relation durable et la vendit à tous. Les cinéastes et les artistes, porteurs de ce message, furent les premiers à souffrir de divorces en cascade et de remariages, mais nous avons ignoré l’évidence et accepté le mensonge. La limite médiane commença à s’effacer.

La révolution sexuelle des années 60 marqua la destruction quasi totale de cette limite médiane. Les gens commencèrent à vivre ensemble sans engagement durable. Le nombre des mariages commença à diminuer. Des adolescentes tombèrent enceintes. Les enfants à naître furent regardés comme des gêneurs. Le sexe devint tellement explicite, si ouvertement exhibé, si lucratif, que la société abaissa ses standards sexuels. Les limites extérieure et intérieure commencèrent à tomber.

3 effets de l’effacement de la limite extérieure

Le meurtre des enfants non désirés (v. 21)

« Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le sacrifier à Moloch, et tu ne profaneras point le nom de ton Dieu. Je suis l’Éternel. »

Ce verset semble un peu hors de contexte au milieu de ce chapitre. Qu’atil à faire dans le cadre d’unions sexuelles illégales ? Je pense qu’il signale en fait la première phase de la destruction de la limite extérieure de la sexualité selon Dieu. Cela indique que les enfants ne sont plus en sécurité dès que la limite médiane tombe.

Voici ce que disait en 1984 Barbara Burke, pourtant favorable à l’avortement : « Pour certains animaux, l’infanticide est une pratique naturelle. Cela pourraitil être aussi naturel pour les humains, un trait hérité de notre évolution ? Quand nous entendons dire qu’une mère a tué son propre bébé, nous sommes horrifiés et supposons qu’elle est folle. Bien sûr, certains tueurs sont fous. Mais l’infanticide humain est trop répandu géographiquement et historiquement pour être explicable par une pathologie ou par une particularité de quelque culture déviante. Cela peut paraître une méthode de planning familial cruelle et inefficace, mais dans les cultures sans méthode contraceptive, où les naissances étaient plus sûres que les avortements primitifs, cela pouvait apparaître comme la seule façon de garder la taille de la famille en cohérence avec ses ressources. »

Autrefois, par contagion morale avec les peuples environnants, des Israélites sont allés jusqu’à offrir leurs enfants à Moloch. L’analogie avec l’avortement peut nous venir à l’esprit.

L’homosexualité (v. 22)

« Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C’est une abomination. »

Quand le sexe devient autonome, l’expérience sexuelle entre membres du même sexe devient inévitable. Voici pourquoi : si le but de votre sexualité est le plaisir indépendamment du mariage et si votre liberté sexuelle en vient à nier toute limite, il n’y a plus de raison de rejeter une pratique alternative. En conséquence, beaucoup d’homosexuels demandent notre compassion et notre acceptation.

Un pasteur, favorable à l’homosexualité, s’étonnait des réactions négatives suscitées par une de ses émissions télévisées. Il les taxait péjorativement d’« émotions profondes primaires ». Mais ces « émotions profondes primaires » font précisément partie de la limite extérieure. Rappelons nous qu’il fut un temps où notre culture avait des émotions profondes primaires à propos de l’adultère, des relations prémaritales, du divorce, de l’avortement, etc. Une par une, nous nous en sommes débarrassés, mais je crois qu’il est temps de rappeler nos « émotions profondes primaires » !

La bestialité (v. 23)

« Tu ne coucheras point avec une bête, pour te souiller avec elle. La femme ne s’approchera point d’une bête, pour se prostituer à elle. C’est une abomination. »

Ce verset marque la limite actuelle de notre culture, quoique la bestialité apparaisse fréquemment dans les livres pornographiques. Si notre culture accepte l’homosexualité comme elle a accepté l’adultère et l’avortement, elle acceptera bientôt la bestialité. Peutêtre lui donneratelle une aura mythique, comme Zeus qui se transformait en taureau pour séduire Europe.

Le jugement de Dieu arrive (v. 24-29)

« Ne vous souillez par aucune de ces choses, car c’est par toutes ces choses que se sont souillées les nations que je vais chasser devant vous. Le pays en a été souillé ; je punirai son iniquité, et le pays vomira ses habitants. »

Voilà qui devrait rendre sérieuse une société lubrique. Il ne s’agit pas d’Israël violant son alliance avec Dieu, mais de Dieu qui, constatant à quel point les Cananéens païens ont souillé leur pays, les jette dehors. Ce chapitre contient des principes universels, qui ne sont pas basés sur une relation d’alliance. Dieu juge toutes les nations de façon égale.

La lettre de l’église de Jérusalem aux croyants païens, en Actes 15.2329, ne met pas ces derniers sous la loi juive, mais réitère la condamnation divine contre l’immoralité sexuelle.

Romains 1.1832 suit la même progression que Lévitique 18. Une fois que l’homosexualité est acceptée, il semble qu’on puisse s’attendre à voir surgir tout type de mal.

La réponse chrétienne

Le développement de l’adultère, des relations préconjugales, de la pornographie, de l’avortement et de l’homosexualité, est le signe d’un fossé grandissant entre une société donnée et les normes divines. Nous héritons désormais de nations façonnées selon les désirs pécheurs de notre cour humain. Il est très difficile pour nous (en tant qu’individus et en tant qu’églises) de rester purs dans de telles sociétés : l’expérience ancienne des Corinthiens est là pour le confirmer. Difficile, mais non impossible.

Examinons notre propre attitude visàvis de la sexualité. Nous sommes confrontés à une guerre spirituelle sur trois fronts dans le domaine de la sexualité :
– il y a notre chair, qui n’est que trop prompte à rechercher une sexualité autonome, c’estàdire indépendante du mariage ;
– il y a Satan, qui à travers l’humanisme et d’autres philosophies, promeut un système intellectuel opposé à la justice de Dieu, et qui encourage la sexualité débridée, l’homosexualité, l’avortement ;
– il y a le monde, qui s’allie avec Satan et avec notre chair -le monde ignore ce que dit l’Église, ou alors s’oppose à elle pour maintenir ses perversions.

Si vous êtes en train de perdre la bataille avec votre chair, si elle vous fait désirer des expériences soit hétérosexuelles, soit homosexuelles, en dehors des trois limites de la sexualité selon Dieu, vous pouvez la vaincre en vivant par l’Esprit (Gal 5.16). Cette partie de l’Épître aux Galates contient beaucoup de choses à méditer. Elle ne nous promet pas la libération du désir charnel, mais elle nous promet que le SaintEsprit nous donnera la maîtrise de soi. Il nous accordera également une vertu cardinale dans cette lutte contre la chair : un amour pour les frères qui nous rend capables de les considérer comme plus précieux que nous-mêmes.

Contre Satan, nous avons la vérité de l’Écriture. Si nous sommes fidèles et vrais dans notre message, nous serons entendus. Le message doit être présenté sous toutes les formes possibles et accessibles à nos contemporains: livres, musique, peinture, arts.

Contre le monde, nous avons besoin d’une Église pure et obéissante. Nous devons bâtir des familles solides. Nous devons apprendre à fortifier nos mariages. Le Seigneur nous demande d’apprendre à vivre ensemble. Je sais sous quelle pression sont nos enfants de la part de leurs camarades ; aussi ne ménageons pas nos efforts, notre temps, notre argent, pour les aider à avancer à contrecourant.

Étant donné que les limites se sont désagrégées dans notre culture, il est probable que cet article aura profondément perturbé certains lecteurs. Plusieurs ont peutêtre connu des expériences malheureuses dans le passé. À ceuxlà, je dis : Regardez l’amour que Jésus a montré à la femme samaritaine (Jean 4). Regardez comment il a agi envers la femme adultère (Jean 8). Souvenezvous comment il s’est retourné pour réhabiliter devant ses hôtes une prostituée (Luc 7). Laissez votre passé, recevez son amour et ses paroles : « Va, et ne pèche plus. » Ainsi, par sa grâce, votre honte disparaîtra et vous serez lavé et purifié, car c’est lui qui le fera.

1On peut se poser la question de savoir si cette première section traite de l’inceste dans le sens moderne de rela-tion secrète et oppressive entre membres de la même famille ou bien si elle ne fait qu’indiquer avec qui l’Israélite ne devait pas se marier. À mon sens, le texte couvre les deux points. Prenons le sujet du mariage : étant donné le contexte libéral du mariage dans l’ancien Israël, si votre père meurt ou divorce de votre mère et si elle se retrouve seule, pouvez-vous en tant que fils vous marier avec elle ? Si vous l’avez accueillie chez vous pour la protéger et subvenir à ses besoins, est-il possible d’avoir des relations sexuelles avec elle, tout comme avec vos femmes ou vos concubines ? En fait, suivant les différentes cultures des pays de l’Antiquité, des répon-ses différentes étaient apportées. Les Perses, par exemple, encourageaient les unions avec sa mère, sa fille ou sa sœur car elles avaient selon eux un mérite spécial aux yeux de leurs dieux. Quoi qu’il en soit, la réponse pour Israël était clairement : « Non ! ».
2 Appliquer directement cette loi aujourd’hui, alors que, sous la nouvelle alliance, la sainteté n’est plus liée à des pratiques cérémonielles, serait inopportun, même si on n’allait pas jusqu’à la peine capitale ! Signalons juste que le mari chrétien doit avoir des égards spéciaux pour sa femme pendant ses règles, alors que les rapports peuvent être moins agréables ou plus douloureux. Une abstinence temporaire (1 Cor 7.5) peut parfois être préférable, sans qu’il soit pour autant question d’en faire une règle. (NDLR)

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