Quelques certitudes face au doute
Il ne brisera point le roseau cassé, et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore. (És 42.3)
Je sais en qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour-là. (2 Tim 1.12)
Toi donc, mon enfant, fortifie-toi dans la grâce qui est en Jésus-Christ. (2 Tim 2.1)
Toi, demeure dans les choses que tu as apprises, et reconnues certaines, sachant de qui tu les as apprises : dès ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ. Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice. (2 Tim 3.14–16)
J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais, la couronne de justice m’est réservée ; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement. (2Tim 4.7–8)
N’abandonnez donc pas votre assurance, à laquelle est attachée une grande rémunération. Car vous avez besoin de persévérance, afin qu’après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis. (Héb 10.35–36)
Nous désirons que chacun de vous montre le même zèle pour conserver jusqu’à la fin une pleine espérance, en sorte que vous ne vous relâchiez point et que vous imitiez ceux qui, par la foi et la persévérance, héritent des promesses. (Héb 6.11–12)
Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide. (Héb 6.19a)
Fais-moi dès le matin entendre ta bonté, car je me confie en toi. Fais-moi connaître le chemin où je dois marcher, car j’élève à toi mon âme.. (Ps 143.8)